Louange à Allah et que la paix et la bénédiction soient sur Son Prophète et Messager, Mohammed, ainsi que sur sa famille et ses Compagnons :
Les jurisconsultes ont stipulé que le divorce est soumis aux cinq sentences de la Charia, dont le caractère détestable s’il n’a pas de cause admise par la Charia. Ibn Qudâma dit dans al-Mughnî : « Le divorce est de cinq sortes : ‘obligatoire’ pour celui qui a juré de ne pas approcher sa femme et ne revient pas sur son serment au temps déterminé, et dans le cas des ‘Des deux arbitres’ durant les différends s’ils voient que cela est la meilleure décision ; détestable : qui a lieu sans aucun besoin. » Puis il a mentionné les autres sortes.
Certains savants ont été jusqu’à interdire ce dernier genre parce qu’il est injuste envers la femme et lui cause du tort. Le Prophète () dit : « Ne portez pas préjudice à vous-même ni à autrui. » [(Ahmad)].
Là-dessus, l’homme qui désire divorcer de sa femme bonne musulmane et fidèle à cause de la pauvreté et des dettes accomplit une œuvre au moins détestable, surtout si cette épouse accepte de demeurer avec lui dans cette situation.